Un photographe qui agit à contre-courant des règles établies, c'est william klein.
Peintre, cinéaste, graphiste, photographe de mode, il dérange les habitudes, par son penchant boulimique à communiquer dans le face-à-face et à enregistrer le désordre naturel. loin des définitions toutes faites, il se joue du bougé et des personnages tronqués. pour "tout fourrer dans une seule image", à cet "instant de transe" oú le chaos se transmet sans pudeur, klein est l'homme du "pourquoi pas ?".
New York, Moscou, Tokyo, ou Rome avec des cadrages frappants et un usage reconnaissable du noir et blanc, cette monographie revient sur toute la carrière de William Klein.
Son premier Rolleiflex ? Il l'a gagné lors d'une partie de poker pendant son service militaire en Allemagne. À en croire William Klein, les coups de poker rythment sa vie qu'il raconte ici, à coup d'anecdotes tranchantes, souvent drôles et irrévérencieuses.
Dans ce livre atypique construit comme un journal de bord, la « voix off » de Klein ponctue une centaine d'oeuvres : ses débuts de peintre, ses recherches graphiques, les photographies de mode, le cinéma et bien sûr la photographie de rue, de New York à Paris en passant par Rome, Tokyo, Moscou.
La Tate Modern de Londres présente une exposition rétrospective de l'oeuvre du photographe, peintre, cinéaste et graphiste William Klein, l'un des artistes les plus controversés et influents du 20e siècle.
Ce livre est publié a l'occasion de l'exposition Bises de Nice, Moscou et Tokyo au Musée de la Photographie Charles Nègre du 16 juin au 2 octobre 2017, à Nice, 1, Place Pierre Gautier.
Ce catalogue dresse un aperçu de l'oeuvre de William Klein dans toute sa multiplicité. Faisant la part belle à ses peintures des années 50, il présente ensuite quelques dessins préparatoires pour son film Mr. Freedom, puis une dizaine de photos de ses fameuses séries sur les villes pour finir avec des planches contacts peintes.
Créateur des vidéos "Contacts" (un photographe explique son choix d'après une planche contact) Klein poursuit l'idée avec ses propres photos. En isolant l'image élue d'une épaisse couche de laque rouge, jaune ou bleue, invente des formes et crée ainsi une oeuvre nouvelle où la peinture démultiplie la présence des photographies.
Tout gosse, William Klein rêvait de vivre à Paris comme Henry Miller, Gertrude Stein, et Cie.
En 1948, démobilisé de l'armée US à Paris, il y est resté - pour fuir sa famille et l'Amérique et devenir peintre. Très rapidement, il a trouvé une autre famille et la reconnaissance de son talent. PARIS+KLEIN rassemble des photographies, aussi bien en noir qu'en couleur, des premières faites dans les années soixante à celles réalisées quelques jours avant la mise sous presse en mars 2002 : des gens de la rue, des personnalités, des manifestations, la mode, les flics, les courses, la politique, le métro, le football, la mort...
La vie de cette grande capitale avec le regard de Klein, vif, acide, mélancolique, humoristique, ironique, émouvant.
Soixante ans après Life is Good and Good for You in New York, son premier ouvrage classé comme l'un des plus importants de l'histoire de la photographie, William Klein s'est lancé un nouveau défi: photographier Brooklyn en numérique. Une manière pour le maître de l'esthétique du chaos de regarder autrement ce quartier de New York.
Un photographe qui agit a contre-courant des règles établies, c'est William Klein.
Peintre, cinéaste, graphiste, photographe de mode, il dérange les habitudes, par son penchant boulimique à communiquer dans le face-à-face et à enregistrer le désordre naturel. Loin des définitions toutes faites, il se joue du bougé et des personnages tronqués. Pour " tout fourrer dans une seule image ", à cet " instant de transe " ou le chaos se transmet sans pudeur, Klein est l'homme du " pourquoi pas ? "