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Alors qu'il fête son trentième anniversaire, le Parc national du Mercantour confie à Caroline Audibert la mission de redéfinir le "caractère" de son territoire.
Partie de Nice, la journaliste et philosophe a entrepris un périple au long cours, au fil des saisons, entre les monts des Alpes-Maritimes et des Alpes-de- Haute-Provence, sillonnant les routes étroites menant à la vallée de la Roya, empruntant les chemins de la Vésubie, passant les cols qui ouvrent sur la Tinée, l'Ubaye, le haut Verdon et le haut Var. Son voyage l'a conduite parmi les hommes, à travers une terre de mémoire singulièrement vivante.
Son témoignage est nourri de rencontres avec les bergers, agriculteurs et artisans qui réinventent les pratiques traditionnelles dans ces vallées, mais aussi avec les historiens, géologues, ethnologues et conservateurs qui mettent en perspective les activités des habitants des vingt-huit communes du Parc ainsi que les patrimoines culturel et naturel du Mercantour. Aux textes de Caroline Audibert répondent les dessins à l'encre et les aquarelles de Caroline Challan Belval.
Leurs carnets sont un guide précieux pour ceux qui dirigent leurs pas vers ce territoire où les Alpes s'évanouissent dans la Méditerranée, comme pour ceux qu'intéressent les liens de l'homme à la terre, les enjeux de la biodiversité et les valeurs ressources de la montagne. Préparant un doctorat de philosophie, Caroline Audibert exerce le métier de journaliste et photographe. Ses recherches se portent sur la relation que les hommes entretiennent avec leur terre, et comment se dessine une géographie de l'existence.
Elle collabore avec différents médias, agences ou structures institutionnelles.
Caractéristiques des grandes cultures du monde. Afin de plonger dans un univers peu connu, de découvrir des sensations, des ingrédients, des goûts, des ustensiles, des jeux, des valeurs, des us et coutumes, cet ouvrage permet aux familles de connaître non seulement d'autres cultures par des moyens qui les touchent, comme le jeu et l'alimentation, mais aussi de se familiariser avec les différences et de les partager.
Ce livre a une double ambition : inviter les lecteurs à suivre les traces de Rousseau, de Genève où il est né en 1712, à Ermenonville (Oise) où il est mort en 1778, à travers les lieux qui lui ont été familiers ; mais aussi, permettre de découvrir ou d'approfondir une oeuvre d'une richesse immense, et d'en montrer la profonde cohérence malgré la diversité des genres : écrits autobiographiques, romanesques, politiques, philosophiques, pédagogiques, esthétiques, etc. - autant de domaines où s'éprouve cette dialectique du sentiment et de la pensée, qui offre une clé pour saisir les grandes problématiques rousseauistes.
L'ouvrage cherche donc à mieux faire connaître un homme et une oeuvre indissolublement liés, à travers des éclairages thématiques comme le sentiment de la nature, le goût de la musique, le rapport aux femmes ou les querelles avec ses contemporains, mais aussi en parcourant les grands massifs que sont Le Contrat social, La Nouvelle Héloïse, Émile ou De l'éducation, Les Confessions, etc.
Enrichi par une somptueuse iconographie d'époque, mais aussi actuelle, ce beau livre dessine un portrait vivant de Rousseau et invite à visiter son oeuvre à l'occasion des fêtes du tricentenaire de sa naissance.
La traversée du Pacifique en planche à voile entre le Pérou et la Polynésie sur les traces du Kon Tiki est un exploit sportif et une aventure humaine exemplaires. Raphaëla le Gouvello l'a imaginée et vécue comme une relation privilégiée avec la mer à laquelle elle a voué sa vie
A quoi pense-t-on quand on est ainsi seule en mer, à naviguer sur une planche à voile, donc incapable de faire autre chose car les deux mains sont occupées ?
Plus qu'un récit, celui d'une traversée en solitaire en planche à voile, c'est à cette question que cet écrit tente de répondre. Il se voudrait une méditation et une invitation au gré des vagues, ponctuées par l'autoportrait et la position du jour, comme si cette photographie quotidienne d'un visage à un lieu précis exprimait la distanciation qui se produit, par rapport à la terre, par rapport à sa vie, et par rapport à soi-même, pour retrouver l'essentiel. Partir pour mieux revenir.
Que cette traversée soit aussi un prétexte à plus de connaissance, un temps de pause et de réflexion. Pour moi, elle l'a été, c'est certain, parce qu'il faut beaucoup apprendre et continuer sans cesse à apprendre.
Ce livre ne relate donc pas de façon linéaire le déroulement d'un long périple à travers le Pacifique. Il profite de celui-ci pour raconter au fil des jours et des milles parcourus le monde marin avec la vie qui l'habite, les forces qui l'animent et les menaces qui le rongent.
Il y est aussi question d'émotions et de sensations fortes. Des photos, des cartes, des schémas et des illustrations viennent mettent en images ce beau livre de mer.